Canettes de Coca-Cola, et mine
de plomb sur panneau. Signée en
bas à droite.

Cette œuvre est répertoriée dans les
archives de Mme Denyse Durand-Ruel sous
le numéro 5669

Paris, Vente Marc-Arthur Kohn, 01/06/2016,
n°6

Technique mixte sur carton
ondulé.
Signée et datée 2011 en bas
à droite.
88 × 49 cm

Cette œuvre est répertoriée dans les
archives de la Delaive Gallery, Amsterdam
sous le n° AR11-034.

Amsterdam, Delaive Gallery, 23
Spiegelgracht

Rokkaku est une artiste japonaise remarquée
à la foire d’art contemporain de Geisei en
2006 par un jury composé de personnalités
du marché de l’art international.
Autodidacte, elle a depuis reçu plusieurs
prix, concrétisés par ses rares apparitions
dans les ventes aux enchères internationales.

Huile sur toile. Signée et datée
en bas à gauche.
65 × 54 cm.
(Petits manques)

Nous remercions Mme Anne-Marie Di Vieto,
qui nous a aimablement confirmé que cette
œuvre était bien répertoriée dans ses
archives. Un certificat d’authenticité pourra
être remis à la demande et à la charge de
l’acquéreur.

• Ancienne Collection de Thierry Le Luron
• Nice, Vente SARL 4-AUCTION, vente 17
avril 2016, nº267

Peintre du nord aux origines russes et
finlandaises, Léopold Survage découvre
les lumières méditerranéennes à Nice
où il séjourne durant la Première Guerre
Mondiale. C’est à Collioure, entre 1925
et 1932, que sa palette s’éclaircit et qu’il
introduit le surréalisme dans son oeuvre.
La composition Paysage surréaliste, 1926
joue avec une géométrie trompeuse.
Les formes géométriques et triangles
s’emboitent pour simuler à la fois la
perspective et les plans impossibles.
Plusieurs lignes fuyantes structurent le
tableau offrant à l’oeil un dédale de rues
imaginaires, multipliable à l’infini comme
dans un jeu de miroirs. La figure féminine
du premier plan, plantureuse et insolente
rappelle les cariatides de la Grèce antique.
Dans la peinture de Survage surgissent
à cette époque les pêcheuses, les
marchandes de poissons ou porteuses de
fruits, comme dans notre oeuvre. Elle illustre
parfaitement ce qu’Apollinaire comprit en
voyant les premières oeuvres surréalistes de
Survage : «Nul avant Survage n’a su mettre
dans une seule toile une ville entière avec
l’intérieur de ses maisons.»

Compression de canettes (Coca,
Perrier, Pelforth, Seven up, Stella…).
Signée en bas sur une face en
grattage.
31 × 15 × 15 cm.

Cette œuvre est répertoriée dans les
archives de Mme Denyse Durand-Ruel sous
le n°6848.

« Le marbre de Carrare était trop cher, la vieille ferraille traînait
partout. Je suis devenu sculpteur parce que j’étais pauvre ! » César
C’est vers 1950 que César se tourne vers les déchets métalliques
et l’emploi de la soudure à l’arc, ses faibles ressources l’empêchant
de se procurer des matériaux plus nobles. Il produit alors plusieurs
séries de sculptures résultant de l’assemblage de débris métalliques
soudés ou assemblés. La découverte fortuite chez un ferrailleur de
Gennevilliers en 1960 d’une presse hydraulique géante, donne une
nouvelle impulsion aux créations de l’artiste. Cette monstrueuse
machine capable de réduire des voitures entières, inspire à César
ses premières « compressions », décrites par le critique d’art
enthousiaste, Pierrre Restany, comme une manière commune
d’appropriation du réel, alors que le grand public crie au scandale…
Les compressions se déclinent en plusieurs expressions et formes
comme les « compressions murales », puis plus tard les « portraits
de compressions », dont divers modèles représentés dans cette
belle collection. Dans ces portraits, l’artiste mêle le dessin à des
« tableaux de fer », sorte de bas-reliefs illustrant la volonté de César
de composer des oeuvres à mi-chemin entre un art pauvre et un art
flamboyant et provocateur.

Huile sur toile.
Signée et datée en bas à droite
vers le centre.
Cachet Maurice Garnier
et mention manuscrite 78X
au dos de la toile.
73 × 60 cm

Un certificat de la Galerie Maurice Garnier
en date du 19 avril 2017 sera remis à
l’acquéreur.

Paris, vente Millon, 23/11/2016, nº220

Technique mixte sur toile
marouflée sur toile.
Signée en bas vers la gauche.
Titrée et datée sur une étiquette
au dos.
118 × 68 cm.

Cette oeuvre est répertoriée dans
les archives Combas.

• Collection Finck-Beccafico (tampon au dos
du châssis)
• Versailles Enchères, vente 3/07/2016,
lot 170
Exposition :
Galerie Yvon Lambert, 5 rue du Grenier
Saint-Lazare, 75003 Paris (Étiquette au dos)

Huile sur toile.
Signée et datée (19)55 en haut
à gauche.
88,5 × 145,5 cm.

Un certificat de la Galerie Maurice Garnier,
en date du 17 février 2018 sera remis
à l’acquéreur.

• Collection privée européenne depuis 1957,
dans sa succession
• Paris, Galerie Drouant-David (cachet au
dos)
• Vienne, Vente Dorotheum, 15/05/2018, nº27
• Paris, Gloria Gallery, 108 Rue du Faubourg
Saint-Honoré, 75008 Paris

Gouache sur papier. Signée
en bas au centre.
61 × 47 cm.
(Légères épidermures)

Nous remercions M. Thaddée Poliakoff pour
les informations qu’il nous a aimablement
communiquées.

Versailles, Vente Versailles Enchères, 29 avril
2018, nº53

Alexis Poliakoff, Catalogue raisonné de l’œuvre de Serge Poliakoff, volume V
1966 - 1969, München, Galerie Française,
nº68 - 113 du cat. ill. coul. p. 312

Acrylique sur toile.
Signée en bas à gauche.
162 × 130 cm

Nous remercions la Fondation Jean Miotte qui nous aimablement confirmé l’authenticité de cette oeuvre d’après photographie.