Aquarelle sur traits de crayon.
Signée en bas à droite.
24 x 15,5 cm (à vue).

Œuvre en rapport: Picabia, Maria Lluïsa Borras, Albin Michel, Paris, 1985. no 575 (1923 – 1927).

Artiste surréaliste majeur, Picabia eut aussi une production en lien avec la vie mondaine qu’il affectionnait. À la fin des années 20, il vit au château de Mai à Mougins et participe activement en tant qu’artiste aux fêtes , galas et divertissements organisés par une riche société d’aristocrates ou de Tycoons. Une exposition rassemblée au Cercle nautique de Cannes en janvier 1927, rassemble de nombreux sujets espagnols liés à la fête et à la danse dans le style de notre dessin, caractéristique de l’élégance et de la virtuosité de Picabia.

Huile sur toile.
Non signée.
Porte des inscriptions manuscrites au dos: « L.Hunter, la colombe d’or, 1929 » sur la gauche et « L.Hunter, la colombe, 1929? » sur la droite ainsi qu’une étiquette écrite au feutre « 2.6.70 ».
60 x 50 cm

-Collection privée de Mme Lefranc qui avait une maison à Cannes (Alpes Maritimes). Nous avons retrouvé la trace d’un certificat (délivré par J.Duretz et daté 16 juin 1975) dans les archives du défunt. Nous ne detenons pas de copie de ce certificat.
-Succession X, dans la descendance de la précédente.

G.L. Hunter appartient à un groupe de peintres (Carell, Fergusson, Peploe) regroupés sous le nom de Coloristes écossais dans les années 1920/1930. Ils sont sous l’influence des impressionnistes et des fauves, principalement de Matisse, utilisent une palette hautement colorée et un dessin synthétique. Résidant principalement à Glasgow, Hunter voyage dans le sud de la France à la fin des années 20. Il loue un petit studio proche de l’auberge de la Colombe d’or dans le petit village de Saint-Paul de Vence où a été exécuté notre tableau. Il est probable que notre tableau ait été la propriété de Jean Duretz , encadreur à Cannes.

Huile sur toile.
Signée en bas à droite.
115 x 97 cm
(Petits manques en bas à gauche)

Huile sur toile.
Signée en bas à gauche.
73 x 54 cm